Bonjour pouvez vous m’aidez s’il vous plaît /a. Entourez les pronoms relatifs. b. Placez entre crochets les subordonnées relatives.c. Soulignez les noms ou les
Français
kyllieutaud12
Question
Bonjour pouvez vous m’aidez s’il vous plaît /a. Entourez les pronoms relatifs. b. Placez entre crochets les subordonnées relatives.c. Soulignez
les noms ou les groupes nominaux complétés.
Le médecin n'est pas cet homme qui apporte le bienfait des médicaments occidentaux, et qui sait
partager son savoir avec les anciens du village. Il est un étranger dont la réputation s'est répandue
dans tout le pays, qui coupe bras et jambes quand la gangrène a commencé, et dont le seul remède
est contenu dans cet instrument à la fois effrayant et dérisoire, une seringue de laiton munie d'une
aiguille de six centimètres. Alors mon père découvre, après toutes ces années où il s'est senti proche
des Africains, leur parent, leur ami, que le médecin n'est qu'un autre acteur de la puissance coloniale.
J.-M. G. Le Clézio, L'Africain, o Mercure de France, 2004.
d. Quelle image les propositions subordonnées relatives donnent-elles du père du narrateur?
les noms ou les groupes nominaux complétés.
Le médecin n'est pas cet homme qui apporte le bienfait des médicaments occidentaux, et qui sait
partager son savoir avec les anciens du village. Il est un étranger dont la réputation s'est répandue
dans tout le pays, qui coupe bras et jambes quand la gangrène a commencé, et dont le seul remède
est contenu dans cet instrument à la fois effrayant et dérisoire, une seringue de laiton munie d'une
aiguille de six centimètres. Alors mon père découvre, après toutes ces années où il s'est senti proche
des Africains, leur parent, leur ami, que le médecin n'est qu'un autre acteur de la puissance coloniale.
J.-M. G. Le Clézio, L'Africain, o Mercure de France, 2004.
d. Quelle image les propositions subordonnées relatives donnent-elles du père du narrateur?
1 Réponse
-
1. Réponse hirondelle52
Bonsoir,
Pronoms relatifs
les noms
Le médecin n'est pas cet homme [qui apporte le bienfait des médicaments occidentaux], et [qui sait partager son savoir avec les anciens du village]. Il est un étranger [dont la réputation s'est répandue dans tout le pays], [qui coupe bras et jambe] quand la gangrène a commencé, et [dont le seul remède est contenu dans cet instrument à la fois effrayant et dérisoire, une seringue de laiton munie d'une aiguille de six centimètres]. Alors mon père découvre, après toutes ces années [où il s'est senti proche
des Africains, leur parent, leur ami], que le médecin n'est qu'un autre acteur de la puissance coloniale.
Ces subordonnées précisent les pensées de son père et le rôle du médecin qu'il était.