bonjour. a. Récrivez ce texte en conjuguant les verbes entre parenthèses au conditionnel présent ou passé. Son mari avait espéré qu'elle (se réjouir) de l'invi
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charlyne57
Question
bonjour. a. Récrivez ce texte en conjuguant les
verbes entre parenthèses au conditionnel présent
ou passé.
Son mari avait espéré qu'elle (se réjouir) de l'invitation,
mais elle jeta le carton avec dépit.
- Ma chérie, j'étais persuadé que cela te (faire) plaisir et
que tu (être) contente !
Comment (pouvoir)-je l'être alors que je n'ai rien à me
mettre pour l'occasion ?
- Je pensais que tu (mettre) la robe que tu portes pour
aller au théâtre...
Elle se mit à pleurer: elle (aimer) tant avoir une belle tenue!
- Voyons, Mathilde. Combien cela (coûter)-il une toilette
convenable ?
-Il me semble qu'avec quatre cents francs je (pouvoir) y
arriver, répondit-elle prudemment.
Si elle avait demandé une trop grosse somme, son mari
n'accepter) jamais.
D'après G. DE MAUPASSANT, « La Parure », 1884
est ce que quelqu'un pourrait m'aider
verbes entre parenthèses au conditionnel présent
ou passé.
Son mari avait espéré qu'elle (se réjouir) de l'invitation,
mais elle jeta le carton avec dépit.
- Ma chérie, j'étais persuadé que cela te (faire) plaisir et
que tu (être) contente !
Comment (pouvoir)-je l'être alors que je n'ai rien à me
mettre pour l'occasion ?
- Je pensais que tu (mettre) la robe que tu portes pour
aller au théâtre...
Elle se mit à pleurer: elle (aimer) tant avoir une belle tenue!
- Voyons, Mathilde. Combien cela (coûter)-il une toilette
convenable ?
-Il me semble qu'avec quatre cents francs je (pouvoir) y
arriver, répondit-elle prudemment.
Si elle avait demandé une trop grosse somme, son mari
n'accepter) jamais.
D'après G. DE MAUPASSANT, « La Parure », 1884
est ce que quelqu'un pourrait m'aider
1 Réponse
-
1. Réponse Anonyme
Réponse :
Bonjour,
Son mari avait espéré qu'elle se réjouirait de l'invitation, mais elle jeta le carton avec dépit.
- Ma chérie, j'étais persuadé que cela te ferait plaisir et que tu serais contente !
Comment pourrais-je l'être alors que je n'ai rien à me mettre pour l'occasion ?
- Je pensais que tu aurais mis la robe que tu portes pour aller au théâtre...
Elle se mit à pleurer: elle aurait tant aimé avoir une belle tenue!
- Voyons, Mathilde. Combien cela coûterait-il une toilette convenable ?
-Il me semble qu'avec quatre cents francs je pourrais y arriver, répondit-elle prudemment.
Si elle avait demandé une trop grosse somme, son mari n'aurait jamais accepté.
D'après G. DE MAUPASSANT, « La Parure », 1884
Bon courage ^-^